De gauche à droite: C.Thiam, B. Sonko et M.I.Kane |
Au cours des échanges, les deux conférenciers ont reconnu que la presse sénégalaise - malgré ses imperfections - est une presse de qualité dans la sous-région ouest-africaine.Toutefois, la multiplication, ces dernières années des supports et surtout l’avènement de la presse en ligne constituent de réelles menaces pour sa survie. Ils ont évoqué des problèmes structurels liés à l'absence d'une politique d'Etat, d'une politique de distribution et d'un modèle économique.
Enfin, pour ces patrons de presse, il faudra réinventer un nouvel modèle économique, voire un nouveau contenu et si possible, aller vers le regroupement de la presse. Autrement dit, la presse sénégalaise doit s'adapter ou périr face au tout numérique.
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