vendredi 18 novembre 2016

AUDIO: SUPPRESSION DE L'ALLEMAND DANS LES COLLÈGES AU SÉNÉGAL

La décision du gouvernement sénégalais de supprimer l’enseignement de la langue allemande dans les collèges suscite de nombreuses réactions dans le secteur de l’éducation nationale. Élèves, enseignants et même le bureau régional de la Fondation Konrad Adenauer adhèrent à la pétition lancée cette semaine par l’Association des Professeurs d’Allemand du Sénégal. Plusieurs actions sont prévues dans la capitale d'ici la fin du mois pour expliquer aux autorités et à l'opinion l'importance de l'enseignement de l'allemand pour le développement économique et scientifique dans le pays.

lundi 14 novembre 2016

PUB: DES TISSUS A LA PORTÉE DE TOUTES LES BOURSES

La fin de l'année s'annonce à grands pas.

Ensemble, préparons nos différentes fêtes!







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mercredi 9 novembre 2016

CESTI:PLUS DE BÉNINOIS QUE JAMAIS

Une vue partielle d'étudiants béninois en journalisme
La communauté des étudiants béninois au Centre d'Etudes des Sciences et Techniques de l'Information de Dakar s'élargit. Sept nouveaux candidats viennent d'obtenir leur ticket d'entrée au Cesti à l'issue du dernier concours d'accès à l'institut.

En dehors des cinq étudiants en fin de formation qui ont soutenu le mois dernier, dix sept (17) autres suivent régulièrement les cours dans cette prestigieuse école sous-régionale de journalisme. Ils sont six (06) en 3ème année, huit (08) en 2ème année et trois (03) en 1ère année. Parmi eux, il y a trois (03) filles.

Robert Adé




lundi 7 novembre 2016

VIEILLARDE MAIS TOUJOURS VALIDE

   « A quoi cela sert-il de vieillir si l'Homme ne peut pas continuer de lutter pour sa survie? » 
Dèzindjo Sogbossi, la sexagénaire
  Dès ses 50 ans, Dèzindjo Sogbossi, une femme africaine originaire du Sud-Bénin s'est refusée de mourir sous le poids de l'âge. Aujourd'hui, elle à 74 ans et agit comme une jeune fille de 24 ans. "Mieux que ma fille cadette, je m'adonne aux travaux champêtres, je parcours les différents marchés locaux, j'achète des produits vivriers que je revends. Les bénéfices me permettent de soulager mes enfants et mes petits-enfants qui ont toujours des difficultés pour joindre les deux bouts. Je ne me lasse jamais de bricoler ou d'entreprendre quelque chose".
Cette culture du travail, Dèzindjo l'a héritée de sa mère décédée à 120 ans. 
" Elle ne se reposait jamais si ce n'est dans la nuit profonde. Au premier chant du coq, elle était déjà en éveil.  A 90 ans, elle se rendait toujours à pieds au marché Houndjro situé à trois km de notre village. Elle vivait essentiellement de la vente de balaies fabriquées à partir des branches et des feuilles du palmier à huile." 
  Dèzindjo Sogbossi, la sexagénaire encore valide projette de fêter en grande pompe ses quatre vingts ans. Elle sera entourée dit-elle, de ses enfants, ses petits-enfants et ses meilleurs amis.

Robert Adé

dimanche 29 mai 2016

CESTI: Les grandes leçons d'une semaine d'intégration

Des membres de l'Amicale à la soirée de gala
Match de football, conférences-débats, projection de film, dégustation de mets africains, dîner de gala et autres prestations artistiques et culturelles. L'Amicale des étudiants du Centre d'Etudes des Sciences et Techniques de l'Information a bien réussi l'organisation de la semaine d'intégration, édition-2016. J'en retiens 4 grandes leçons pour avoir été à la fois un acteur passif et un observateur conséquent.

1- Marquer. Faire de sa vie professionnelle, une vie réussie afin de mériter plus tard, la reconnaissance ou les hommages de ses pairs et ceux des autres. C'est bien d'être cité en bon exemple pendant, avant ou après sa carrière.

2- Oser. La 45ème promotion a sorti son film, le premier dans l'histoire du CESTI. Le Centre regorge de réalisateurs en herbe à révéler et à former.

3- Réorganiser. Les étudiants du CESTI adorent jouer au football mais ne sont pas performants sur l'aire de jeux. Que de matchs perdus!

4- Varloriser. D'autres talents y sont encore cachés; des vedettes en herbe, des instrumentistes professionnels à révéler au grand public.

Les futures amicales ont encore du pain sur la planche.

samedi 28 mai 2016

FOOTBALL SÉNÉGALAIS: PEUT MIEUX FAIRE.

L'histoire du football sénégalais est très riche en enseignements. Des anciennes gloires aux stars d'aujourd'hui, le parcours est élogieux ont reconnu Oumar Dioume, ingénieur-chercheur, auteur de plusieurs ouvrages sur les grands sportifs noirs, et Aliou Cissé le sélectionneur de l'équipe nationale. 

Face aux étudiants du CESTI le 4 mai dernier, ils ont répertorié les maux qui minent le sport roi sénégalais qui, selon eux, serait en crise: instabilité au plan institutionnel notamment au niveau des ministères, problème de sélectionneurs, manque de patience, mauvaise organisation, manque de professionnalisme, la question des primes et le manque de patriotisme.

 A ces problèmes, les conférenciers suggèrent un plan d'urgence de professionnalisation des joueurs, le paiement des impôts des internationaux sénégalais dans leur pays pour un nouvel modèle économique, la réaffectation de certaines ressources financières à l'équipe nationale, la création et l'entretien d'une équipe nationale "localisée au Sénégal". 

Enfin, Oumar Dioume et les anciens joueurs sénégalais présents au rendez-vous de Carrefour d'actualité ont proposé la création d'un conseil permanent d'anciens joueurs. Ils constituent, à en croire leurs propos, une mine d'expériences jusque là inexploitée en matière d'expertise. Ils ont invité les étudiants du Centre d'Etudes des Sciences et Techniques de l'Information de Dakar à s'investir dans la production de contenus de presse dans le domaine du football.

vendredi 29 avril 2016

LES MILLENNIALS SENEGALAIS

"Aux Etats-Unis, on les appelle les Millennials, la génération du millénaire". Comme l'a expliqué l'Ambassadeur des Etats-Unis au Sénégal, le mercredi 27 avril aux étudiants du CESTI à Dakar, ce sont les personnes nées entre 1980 et 1990. Ils ont un regard différent du monde, du fait de l'influence des nouvelles technologies. James Zumwalt souhaite une jeunesse sénégalaise à l'image des Millennials américains. Cette jeunesse doit être capable de "créer et de diriger" sa propre entreprise. A titre d'exemples, il cite de jeunes entrepreneurs sénégalais qui ont réussi dans la création de petites entreprises. Pour encourager la jeunesse africaine, le Président américain avait créé en 2010, le Young African Leaders Initiative ( YALI ). Ce programme destiné à stimuler la jeune génération a déjà profité à une trentaine de jeunes leaders sénégalais. Ces deux dernières années, ils ont été formés au monde des affaires, à l'administration publique et à la société civile dans de grandes universités américaines. Sur le terrain, certains parmi eux laissent déjà des traces. A Guédiawaye, le premier système de filtration d'eau a été construit grâce au projet "Banlieue Up" d'Abou Gueye. 

vendredi 22 avril 2016

LA PALESTINE, HIER ET AUJOURD'HUI

         
S.E.M Safwat Ibraghith, Ambassadeur de la Palestine au Sénégal
 L’Ambassadeur de la Palestine au Sénégal, Safwat Ibraghith a entretenu, le mercredi 20 avril, à Dakar, les étudiants du CESTI sur la question palestinienne, son histoire et ses enjeux géostratégiques. En plus d’un siècle d’existence, rien n’a bougé en faveur de la Palestine, fait remarquer le nouvel ambassadeur. Ses terres sont toujours occupées avec une recrudescence de la violence. La question des colonies, Jérusalem, les frontières, l’eau et les réseaux routiers sont encore d’actualité malgré la signature et le respect des différents accords civils et militaires. L’humanitaire a pris le pas sur le politique. Pour le peuple palestinien, c’est « une véritable humiliation ». La Palestine pauvre et affaiblie, restera un peuple malade d’espoir. Chaque mois, chaque semaine, chaque jour est porteur de date symbolique et historique.


         Le conférencier est revenu sur quelques dates clé de l’histoire de la Palestine : les accords de Sykes Picot en 1916, la mainmise britannique sur la Palestine en 1920, le plan de partage de l’ONU de 1947, la résistance de Yasser Arafat et de ses compagnons en 1965, l’accueil triomphal de l’OLP par la communauté internationale le 13 novembre 1974, la reconnaissance du droit palestinien avec les accords d’OSLO le 13 septembre 1993, etc. Des faits et dates qui montrent comment, Israël s’est battis sur les ruines de la Palestine.

vendredi 18 mars 2016

PRESSE SÉNÉGALAISE, "S'ADAPTER OU PÉRIR"


De gauche à droite: C.Thiam, B. Sonko et M.I.Kane
Invités au Carrefour d'actualité, le mercredi 16 mars dernier au Centre d'Etudes des Sciences et Techniques de l'Information à Dakar, le directeur général du quotidien du service public "Le Soleil", Cheikh Thiam et le directeur général du journal "Stade", Mamadou Ibra Kane ont fait l'état des lieux de l'entreprise de presse au Sénégal, ses difficultés et les perspectives.

  Au cours des échanges, les deux conférenciers ont reconnu que la presse sénégalaise - malgré ses imperfections - est une presse de qualité dans la sous-région ouest-africaine.Toutefois, la multiplication, ces dernières années des supports et surtout l’avènement de la presse en ligne constituent de réelles menaces pour sa survie. Ils ont évoqué des problèmes structurels liés à l'absence d'une politique d'Etat, d'une politique de distribution et d'un modèle économique.

  Enfin, pour ces patrons de presse, il faudra réinventer un nouvel modèle économique, voire un nouveau contenu et si possible, aller vers le regroupement de la presse. Autrement dit, la presse sénégalaise doit s'adapter ou périr face au tout numérique.

lundi 14 mars 2016

LA RUPTURE, A VISAGE DECOUVERT

Patrice Talon, la rupture.
Les militants et sympathisants de la rupture jubilent. 24 heures après la confirmation des grandes tendances par la cour constitutionnelle, les plus sceptiques se rendent à l'évidence de la victoire de Patrice Talon au premier tour du scrutin présidentiel du 6 mars dernier. Le richissime homme d'affaire béninois sera bel et bien au second tour du scrutin le 20 mars prochain. Il sera face au candidat dauphin: le premier ministre Lionel Zinsou.
Face à la joie suscitée par ses performances au sein de la population, Patrice Talon doit savoir jouer avec les loups tapis dans sa bergerie. Il s'agit des transhumants occasionnels et professionnels, les caméléons de tous les régimes politiques. Aux heures chaudes de l'affaire de la présumée tentative d'empoisonnement du président Boni Yayi, ils étaient les principaux acteurs des marches anti-Talon, les organisateurs des messes et cultes d'actions de grâce à Dieu pour avoir sauvé le Bénin et son président des griffes de leur démon désigné: "Talon le traite". A l'époque, il y avait au rang des chefs d'orchestre de cette campagne de dénigrement, d'injures et de manipulation, des journalistes, des religieux, des médias, des députés, des chefs de partis politiques, des opérateurs économiques et bien évidemment, tous les ministres et directeurs centraux du régime Yayi. Tout ce monde jadis bourreaux de Patrice Talon voudront protéger leurs arrières en se ralliant au groupe de la Rupture. Il pourrait s'agir d'un simple mariage de raison. Que ceux qui soutiennent Patrice Talon lèvent la main et s'expriment à visage découvert!

samedi 5 mars 2016

PRÉSIDENTIELLE BÉNIN: LA CUISSE DE JUPITER AU CONSULAT DE DAKAR

"J'ai fini avec vous!", insiste Jupiter. Nous obéissons à l'injonction de la chef. La trentaine, la patate noire éclairée sûrement récoltée en saison sèche est amère. Son coursier n'est pas plus poli. Un mal voyant noirci par la fumée des gaz d’échappement des taxis-motos de Cotonou nous reproche curieusement de "l'infantiliser". En moins de cinq minutes, cet après-midi, nous quittons, malgré nous, la salle d'accueil du Consulat du Bénin au Sénégal.

 Nous ne saurons pas davantage sur les préparatifs du premier tour du scrutin présidentiel du Bénin à Dakar, la capitale sénégalaise. A force d'observer autour de nous, nous voyons des cartes d'électeurs non encore retirées, un registre et quelques futurs électeurs qui viennent au compte-goutte. Combien seront-ils? Combien de gens ont pu retirer leurs cartes? Les matériels lourds et sensibles sont-ils disponibles? Jupiter nous renvoie au site internet de la Commission Électorale Nationale Autonome. Elle n'a pas reçu mandat de nous parler. Elle est en mission et gare à celui qui touchera encore à sa cuisse!

BÉNIN: CONQUÊTE DU POUVOIR D’ÉTAT, LE PURGATOIRE DE CEUX QUI DEPOUILLENT DIEU

  Ces trente et trois candidats, créatures de Dieu lui ont tout dérobé: l'amour, la parole, la pensée, l'action et la gloire. Dans le lot, il y en a qui se sont enrichis sur le dos du peuple par l'escroquerie, le blanchiment d'argent, le détournement des deniers publics, le chantage, le faux et l'usage du faux en écriture comptable, les pots de vin, la fraude fiscale, le trafic de drogues, le trafic illégal de produits pétroliers, la contrebande et le vol. 
D'autres doivent leurs positions sociales à la tricherie, au faux diplômes, à la calomnie, à la trahison, au trafic d'influence, à l'engagement politique et au mensonge, Plusieurs parmi eux ont fait fortune en son nom. Et, comme ils aiment bien nous le chanter, chaque fois que nous leur en donnons l'occasion: "le pouvoir politique, le pouvoir financier, la gloire, l'intelligence et la ruse, c'est Dieu qui les donne". Puisqu'ils sont  bien nés, Dieu leur a donc tout donné, tout sauf le respect de ses dix commandements.

  Que reste t-il de leurs relations avec Dieu, eux qui, durant toute cette campagne électorale ont utilisé son nom pour "tromper" les populations? Pourtant, Dieu qui est la source de leur bonheur a recommandé à l'homme d'honorer son père et sa mère, de ne pas tuer, de ne pas commettre d'adultère, de ne pas voler, de ne pas porter de faux témoignages contre son prochain, quel qu'il soit. Qu'ont-ils fait pour aider les membres de leurs familles, leurs communautés et leurs villages à sortir de la misère ambiante?
  Puisqu'on ne trompe pas impunément Dieu. La campagne électorale avec ses dépenses est une des images du purgatoire. Ce qu'ils dépensent pour la conquête du pouvoir d'état représente, en fait, une partie du prix à payer pour n'avoir pas bien accompli leurs devoirs envers Dieu et envers leurs prochains. C'est une manière aussi de retourner à Dieu tous les biens qu'ils continuent malheureusement de lui dérober. Les dizaines, voire les centaines de millions qu'ils gaspillent vont finalement dans les caisses de l'état et dans les poches du peuple qu'ils courtisent; quitte à eux de les dérober à nouveau. C'est un cercle vicieux, un cycle infernal.


vendredi 4 mars 2016

AU SOIR D'UNE CAMPAGNE ÉLECTORALE HYPOCRITE

Irené Koukpaki et Abdoulaye Bio Tchané, les deux candidats sérieux
Dans quelques heures, la campagne électorale pour la présidentielle au Bénin prendra fin. Mission presque accomplie pour les différents acteurs du premier tour du scrutin du 6 mars prochain. Les béninois auront démontré leurs talents d'harangueurs de la foule ou de spectateurs attentifs. Sur les médias nationaux et étrangers, des électeurs potentiels et  des candidats se félicitent d'une campagne "très ouverte" et démocratique.
Dans la réalité, c'est la première fois que les béninois vivent une campagne électorale plutôt fermée et hypocrite. Aucun des protagonistes n'est dupe des scandales enregistrés sous le régime Yayi: affaires ICC-Services, Cen-Sad, Dagnivo, concours frauduleux dans l'administration publique, tentative d'empoisonnement, détournement des fonds des Pays-Bas, et les tractations qui ont conduit à l'élection du président de l'Assemblée Nationale, les alliances contre nature lors des communales et pour cette présidentielle, le non-respect de la parole donnée par certains leaders politiques... la liste n'est pas exhaustive.
 Autrement dit, la plupart de la grande masse des futurs électeurs ne sont pas moralement débiteurs des 33 présidentiables. Ils ne sont donc pas contraints de suivre à la lettre, les consignes de vote. Cette campagne électorale finissante s"est bien déroulée sur fonds d'hypocrisie. Hypocrisie entre militants, partisans ou sympathisants, entre candidats de la mouvance politique, entre candidats de l'opposition et entre électeurs et candidats. Les uns et les autres ont juste fait semblant de faire le jeu sans trop y croire ou sans vraiment le vouloir. Les résultats des urnes confirmeront ou pas cette hypocrisie.

vendredi 5 février 2016

JEAN-CLAUDE MARUT "LA LUTTE CONTRE LE RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE, C'EST L'AFFAIRE DE TOUS"

Jean-Claude Marut face aux cestiens.
Jean-Claude Marut, géographe français et spécialiste de la région de Casamance, s'est entretenu avec les étudiants du CESTI, le mercredi 03 février dernier  à Dakar. Le débat a porté sur le thème "Réchauffement climatique et développement durable: du global au local".

La lutte contre le réchauffement climatique est un défi planétaire pour ses sept milliards d'habitants, a affirmé le conférencier. Jean-Claude Marut s'est appuyé sur les résultats des travaux de recherche de ses collègues pour réexpliquer aux étudiants les causes du phénomène. Il s'agit notamment de l'explosion démographique dans les pays du sud, la croissance économique avec la grosse consommation d'énergies fossiles, le rejet du gaz carbonique venant des industries, de la forêt, du transport et des bâtiments équipés de chauffage ou de climatisation. Le rejet des gaz issus de ces activités humaines et industrielles explique, aujourd'hui, la montée du niveau des océans notamment au Sénégal, le dérèglement climatique, la salinité de la mer et des eaux etc. A toutes ces conséquences, il propose des réponses à deux volets: l'atténuation qui pourra agir sur les causes et l'adaptation aux conséquences. Autrement dit, la diminution des émissions de gaz à effet de serre suppose de trouver des énergies alternatives telles que les énergies solaires ou l'instauration de taxes sur les biens et services afin de compenser les dégâts causés. Le volet adaptation, a t-il poursuivi apparaît comme une nouvelle phase du développement durable qui permettra de laisser la terre dans le même état qu'elle a été trouvée aux générations futures. Il a enfin reconnu comme la plupart des étudiants qui sont intervenus, que les pays les plus touchés par le réchauffement climatique sont les plus peuplés et les moins responsables du phénomène.