vendredi 23 mars 2018

La presse ou le bouche-à-oreille : l'alternative des étrangers

 
Internet, une des solutions à la sous-information (Crédit Ph. B. A)
Les étrangers vivant au Bénin s'informent habituellement par les journaux, la radio, la télévision et parfois par Internet. A défaut, ils se rabattent sur les voyageurs. Suzie Suzanne Mboa de nationalité camerounaise reconnaît que ces voyageurs sont pour la plupart "des commerçants très mobiles et bien informés de l' actualité dans leurs pays respectifs".
Pour illustrer ses propos, elle explique que "les informations liées aux troubles intervenues courant Mars 2017  au Nord du Cameroun dans la Zone Anglophone ne leur étaient parvenues que grâce aux commerçants de véhicules d'occasion entre le Bénin et le Cameroun".
Comme aux temps anciens
    Lorsqu'ils n'ont pas les moyens d'aller au contact des voyageurs, certains ressortissants camerounais vont prendre les nouvelles auprès de leur doyen d'âge André NGOGANG. Il vit au Bénin depuis une vingtaine d'années.
   En dehors, de l'actualité brulante, des étrangers vivant au Bénin rêvent de médias accessibles, capables de leur faire vivre au quotidien les réalités de leurs pays d'origine.

Brice Bill Aïtchédji 

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